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mercredi 25 mars 2009

Home!


Je suis là!

Il s'est passé tellement de choses depuis mon dernier billet…

J ai coupé le cordon qui me liait à l'espoir et à la confiance en l'avenir…Jai sombré dans la douleur, perdu la notion du temps et de l'espace, pleuré, avalé ma peine et repleuré…

Et comme la vie ne fait pas les choses à moitié, même les personnes sur lesquelles je pensais compter pour me sortir du gouffre, ont bien choisi le moment pour me juger…

J'étais déçue par le monde, mais j'étais déçue avant tout par moi-même…

On dit que les voyages forment, moi j ai voyagé pour fuir, fuir les miettes de ma vie que Casa reflétait méchamment sur les vitres crades de ces taxis blancs...

Et puis même à de longs kilomètres d'ici la peine était toujours là, l'amertume voilait le regard de découverte que je voulais porter sur les nouveaux lieux!!


Alors, je suis revenue parce que j'ai réalisé que ce que je fuyait c'est moi-même, et mon propre jugement…

lundi 11 février 2008

...


Il y des choses qui marquent, qui laissent sur l’âme de grosses cicatrices, que les pansements ne dissimulent guerre.

La tête peut bien réfléchir, peser le pour et le contre, préparer, apprivoiser, aller doucement, ne pas brusquer, cela ne fait que ralentir le choc, mais son énergie n’est que transformée, et directement ou indirectement on en souffre.
On a beau dissimulé, le chagrin est là, lourd et opaque, consumant, grisant, pesant…

L’agenda bien gribouillé, les jours surbookés, les sorties, les longues heures de paottage sur tout sauf « ça », le shopping dépressif, mais ça ne fait que retarder le face à face.

Ce chagrin qui asphyxie, qui donne une envie de tout plaquer, et partir, partir bien loin de son existence, bien loin de tout ce qui peut la rappeler, bien loin de tout ce qui peut la reconnaître, mais même cela n’est pas suffisant, car le mal est à l’intérieur, indissociable, greffé à vie…

vendredi 4 janvier 2008

Manque d'inspiration II- Délires


Des perles de pluie qui caressent les vitres, embrouillant la vue, et arrivant presque à cacher laideur et points noirs des paysages citadins traversés


L’enfant-vendeur-de-kleenex qui se réfugie au dessous d’un panneau d’affichage infléchi sous la force du vent


La musique enivrante de Frank Sinatra
“The fire is slowly dying
And, my dear, we're still good-bye-ing
But as long as you love me so
Let it snow, let it snow, let it snow”


Le lapin blanc qui me manque grave


Mon autonomination au Maroc Blog Awards : Meilleur blog délaissé, ou mieux, meilleur- blog-vide-sauf-de-phrases-et-photos-incomprises-ne-servant-pas-à-grand-chose

lundi 1 octobre 2007

vendredi 28 septembre 2007


J’aime la nuit, quand c’est frais, quand c’est doux, quand c’est calme, quand l’éclairage est à juste point. J’aime la nuit à Casablanca encore plus. Paradoxalement à ses journées, ses nuits sont belles, raffinées, propres, quand les grandes artères sont vides, et quand je fais mon rallye à souhait sans être interrompue.
J’aime la nuit encore plus quand je suis avec toi,
Quand les bruits s’estompent pour laisser place à ta voix,
Quand tu me parles de ton arrière grand père et sa bravoure,
Quand on commence à nous voir vieux et grincheux et encore amoureux
Quand il commence à pleuvoir, et tu es là pour me rendre la plus heureuse des êtres.

Je t’aime, et le mot ne suffit pas !

jeudi 27 septembre 2007

Confessions


Je reconnais

Que je peux être jalouse d’une voiture, d’un livre ;
Que je peux être têtue ;
Que je suis flemmarde ;
Que j’oublie trop de choses ;
Que parfois mon ordre de priorités est désordonné ;
Que je ne supporte pas les distances humaines ;
Que je me trouve parfois trop simple ;
Que je ne sais pas pourquoi je raconte ça, mais ça me fait du bien. (Ajoutons dans ce sens que je me trouve bizarre aussi !!)