mardi 28 août 2007

7 things about me


Suite à l’invitation de Marocaine, je me mets au jeu des 7, et je vous livre mes résultats :

1- Mon coin préféré au boulot est le « petit coin », à chaque fois que je suis au bout des nerfs, je m’y réfugie, et ça me fait un bien fou ;

2- Même si je suis dans le secteur financier, les chiffres et moi, nous ne faisons pas bon ménage. En plus, je suis nullissime en calcul mental ;

3- Quand j’aime un film, une série un livre…je consomme sans modération, je peux voir et revoir la même chose pour n fois de suite…

4- J’aime bien me prendre en photo, je peux y passer des heures de suite, je ne m’ennuie pas ;

5- J’ai une relation très enfantine avec la douleur, je ne supporte, mais vraiment pas le moindre bobo, et parfois on trouve que c’est un excès de chichi (fchouch) ;

6- J’ai tendance à oublier les prénoms que je n’utilise pas fréquemment, même ceux des personnes qui me sont proches. Dernier incident : j’ai oublié le prénom de mon oncle maternel ;

7- A l’école primaire, j’étais la risée des autres gosses à cause de mes lèvres un peu trop pleines par rapport à la moyenne, ça a constitué un complexe que j’ai traîné pendant un bon moment !!!

Voilà, maintenant à mon tour de passer le relais aux blogueuses et blogueurs suivants :
5Estrellas, 7diadane (oui, oui toi aussi...), Nada (quand elle sera de retour), et Suivi (oui, je sais que tu n’as pas de blog, mais fais le en comm :) ) !



PS: je voulais également inviter saba, mais elle y a déjà répondu.
Voici le lien :
http://manquedinspiration.blogspot.com/2007/07/7-things-about-me.html

Quizz


Hommes et femmes sont ils différents face à l'amour, face à l'autre??

vendredi 24 août 2007

Pour finir la semaine en beauté

Réflexion du vendredi


Çà fait un moment que je traine un état d’âme professionnel pas très gratifiant, ou plutôt, pas du tout reposant, pour la petite abeille que j’étais jadis (euh, y a quelques mois).
En fait, depuis mes premières marches sur l’escalier professionnel, j’ai constaté l’importance du travail, et son impact, direct ou indirect sur le restant de l’existence. Tout d’abord, c’est là où passes minimum 8 h par jour, soit le tiers de notre vie, et la moitié de notre vie consciente (un peu plus pour moi, vu que je dors beaucoup). D’autre part, l’être humain n’est pas étanche, de ce fait, même si l’on essaie de compartimenter notre vie, y a toujours des interactions. Et c’est comme une série de dominos, si l’un s’écroule, le reste suit inéluctablement.

De ce fait,j’ai toujours cherché l’épanouissement professionnel pour garantir une partie de l’épanouissement global.

Le constat actuel est plutôt lamentable, et tout à fait loin de mes aspirations.
Pour essayer de comprendre les raisons, j’ai fait une lente et patiente "petite" enquête, et voilà les résultats : démotivation générale des cadres, et pour cause, les éléments suivants :
- Pas de stratégie claire de la boîte ;
- Géométrie variable des responsabilités, champs d’action pas clairement délimités ;
- Promesses de promotion non tenues ;
- Manque de cohérence dans la ligne de conduite du big brother ;
- Pas d’objectifs clairs, mesurables et contrôlables pour les entités ;
- Communication formelle faible, et communication informelle omni-présente .

Du coup on se retrouve dans le cercle vicieux suivant : démotivé-> pas productive -> encore plus démotivée -> encore moins productive

Ce qui m’inquiète le plus c’est de voir cet état chez pas mal de personnes dans mon entourage, opérant dans d’autres secteurs.

Sommes nous condamnés à ça ? l’épanouissemnt professionnel n’est il qu’un mythe, pour donner du sens à nos cours de management ?

Glamour attitude


Résolutions du jour :
Mettre un peu plus de couleur sur le visage, plutôt en mettre tout court;
Revoir la tendance générale de la garde robe;
Prendre la résolution ferme de me procurer un fond de teint (oui, je sais...);
S'abstenir de jouer toute la journée avec mes semblant accessoires;
S'abstenir de me frotter les yeux, quand il y a des shadow la dessus;
Eviter d'avaler le gloss que je m'hasarde à mettre le matin...
Prendre un peu plus soin de moi tout court!!!

En attendant de voir les étoiles via google sky quand Maroc Télécom donnera l'accès à google earth, je me contenterai des paillettes sur le visage...

jeudi 23 août 2007

Quand les chats prendront le contrôle








PS : Si vous pouvez me dire comment faire pour ajuster les tof. thx

Ben Harper - When It's Good

You're a prison I can't escape
You're a decision I never make
Heard me laughing
You heard me weep and moan

Oh- when it's good, it's so, so good
When it's gone, it's gone

They say time will kill the pain
I say pain is gonna kill my time
Lord won't you save me
Or leave me alone

Cause when it's good, it's so, so good
When it's gone, it's gone
Oh- gone

I hang your picture right above my mind
Don't do anything you can't deny
I could never be your pawn

Oh- cause when it's good, it's so, so good
When it's gone, it's gone

Some drink to remember
Some to forget
Some for satisfaction
Some to regret
I hope a brighter day to you I've shown

Oh- cause when it's good, it's so, so good
And when it's gone, it's gone
When it's gone, it's gone
When it's gone, it's gone
When it's gone, Oh- it's gone

Border line


Pas l’envie d’écrire, pas le courage d’écrire, pas la confiance d’écrire, la multitude de sentiments qui me consument, et que je consomme sans modération : de la culpabilité, du regret, de la tristesse, et beaucoup d’amour…j’ignore comment des sentiments très contradictoires peuvent cohabiter au même cœur (tête), je reste aussi étonnée de la capacité, de la grande capacité de ce « mind » à se dresser fièrement à chaque fois qu’il est question de sensations, de sentiments, cette raison et cette logique infatigables, qui finissent par me fatiguer…

J’avais pris une bonne décision hier : « ne plus trop réfléchir et passer à l’action » au sens général, faire ma petite besogne sur terre sans me casser la tête, aujourd’hui, je sens bouillonner ce magma d’idées, de questions…

Le week end était particulièrement fatigant, vouloir protéger ce qu’on a de plus cher, ne savoir comment s’y prendre de peur de blesser, avoir la trouille de sa vie de voir ses idoles de toujours, dans la fragilité…

lundi 6 août 2007

better together- jack johnson

There's no combination of words
I could put on the back of a postcard
No song that I could sing
But I can try for your heart
Our dreams, and they are made out of real things
Like a, shoebox of photographs
With sepiatone loving
Love is the answer,
At least for most of the questions in my heart
Like why are we here? And where do we go?
And how come it's so hard?
It's not always easy and
Sometimes life can be deceiving
I'll tell you one thing it's always better when we're together

Nostalgie


Quitter le comm, les comm, les voyages, les rencontres, le carnet de contact gros comme ça, et se convertir aux chiffres, se cloisonner dans un bureau climatisé, se masturber, simuler, extrapoler, linéariser, analyser, « reportinguer », et moisir

Oui, ça me manque, le papottage en guise d’approche, les small talks, les propositions, les réunions, les affaires, les clients râleurs, capricieux, exigeants, chiants, mais vivants…

Back


Le cousin zmagri et sa femme algérienne, les franches rigolades ;

L’ado qui cherche son identité ;

L’accident mortel qui a coûté la vie à une cousine de 32 ans, et sa fille ;

Le cousin qui roule dans sa 4*4, à 20 km des funérailles, sans prendre la peine d’y assister ;

La chaleur, l’incroyable chaleur ;

Ma peau qui se régénère ;

La dame de 75 ans, le dos courbé qui arbore un coq sur la route ;

La copine toute excitée, qui attend impatiemment sa moitié ;

L’appart non encore trouvé ;

Mon amour, mon grand amour…

vendredi 3 août 2007

Une de mes scènes préférées

Week end


Et oui, ça passe vite, une semaine c'est que 7 jours, elle expire, alors qu'on commence à peine à s'y habituer...

Un voyage de 150 min, des retrouvailles in chaa allah : ma famille, et mes chats :)

Instantané


Tu me tends tes lèvres,
Je t’offre ma joue
Et fais ma petite moue
Je t’en veux
Oui à cet instant,
Parce que tu t’en vas
Parce que tu l’acceptes
Et moi je ne le supporte pas
Vois tu ma détresse?
La sens-tu ?
Sais tu que tu me manques?
Oui, déjà

jeudi 2 août 2007

Dance with me

Une envie meurtrière de danser.
Euphorie du bonheur!

mercredi 1 août 2007

Chercher le réel


Oui, c’est vrai je me pose beaucoup de questions, que ça peut être excitant, déroutant, déprimant ou enivrant, cela dépend.
Je me suis toujours demandé pourquoi, il y avait tant de langues au monde, je me suis aussi toujours demandée pourquoi le poisson ne s’appelait pas chat, ou le vent air, pourquoi ce mot pour cette chose, cet animal, cette race, et qu’est ce qui a fait que le même nom continue toujours…j’ai toujours trouvé très curieux, les accents qui diffèrent d’une zone géographique à l’autre, les lettres qui existent en arabe sans équivalent chez les autres langues, et vice versa

Dans un registre plus intime, aime-t-on quelqu'un pour ce qu’il est, pour ce qu’il représente pour nous , ou pour ce qu’il fait pour nous ? Quand il y décès, et quand on pleure, est ce pour cette personne, c’est pour nous et pour le plaisir qu’on prouve à sa compagnie, ou tout simplement par peur parce que l’on se demande si notre tour viendra un jour, et que cette vie est finalement cruelle, et ne vaut pas la peine…

Trop de questions qui meublent mon quotidien, et qui font que même en vivant le moment de bonheur, ou de malheur, une toute petite partie de moi-même réclame de comprendre le pourquoi du comment.
Les raisonnements ne sont pas toujours linéaires, et le fil est souvent perdu : ma seule réponse dans ces cas, est qu’il ne faut pas se prendre la tête !

Ma dernière ask-apade concerne le blogging.

J’ai découvert le blogging ça fait exactement un an, au départ, c’était plutôt la découverte, des personnes qui écrivent, qui expriment, qui partagent. Des lectures assidues qui m’ont donné ensuite l’envie de m’y mettre moi-même.

Ce qui m’attirait au départ, c’est cette plate forme de partage et d’échanges sans contraintes, sans intérêt, sans limites : parler de tout et de rien, être tantôt sérieux tantôt défalqué, pouvoir établir un dialogue indépendant de tous ce qui nous séparent en vie réelle : éloignement géographique, décalage horaire, étiquettes sociales, …N’avoir en contact que l’esprit, en se libérant du contexte, qui est souvent éloignant.

Un autre point jouant en faveur des blogs est une certaine « objectivité » : étant donné qu’il n’y a pas un intérêt direct derrière les blogs, et étant donné que l’anonymat reste de mise, les échanges ont toutes les chances d’être objectifs, d’être sincères, d’être réels…
Et vu de cet angle, je trouvais que plus réel que cet échange, il n’y a pas.

Ceci dit, avec le temps, on sent que le blogging ce n’est pas que du débat objectif, il y a aussi l’humain, et la curiosité fait que l’on se contente pas de cette version de la personne sur écran, plus on connaît, plus on apprécie, plus on cherche à mieux connaître, et en réel en plus…
A un certain moment la question qui se pose est si justement on dépasse cet aspect virtuel, est ce que tous les avantages précités ne se dissipent pas, puisque l’on retourne au mode normal. Il n’y pas que la rencontre physique qui ferait ça, le fait aussi de parler de soi n’induit-il pas à la même conclusion ?

Ou est ce que c’est justement la preuve tangible que l’être humain ne se contenterais pas d’un échange 100% idées avec ses semblables, et que finalement c’est naturel dans la mesure où lui-même est un être complexe que l’on ne peut pas réduire à de simples idées logiques…

Une autre question qui se pose est si effectivement l’on concède qu’il ne peut y avoir échange pur d’idées, et que sur le blog c’est comme la vie réelle, quel rapport, il aura avec celle ci, un complément, un parallèle, et à partir de quel moment ce deuxième monde piétinera sur celui de base. Ça me rappelle inéluctablement le concept de Second Life, au départ c’était un jeu, il ne l’est plus pour certains, ceux et celles pour qui le jeu est devenu réalité, et la réalité devenue un temps mort…



Je vous livre ce billet à l'état brut et pas très ordonné, à l'image même de mes idées, si l'envie vous prend, n'hésitez pas à corriger, à mettre de l'ordre, et à continuer...